HAITI

Un emerveillement de la nature.

Le Paruline Noir et Blanc

Une espèce endémique d'haiti qu'on doit protéger.

Bassin BLeu

Une richesse incomparable.

Les fruits d'Haiti

Savourons les!.

Cascade Pichon de la forêt des Pins

Un Patrimoine qu'on doit protéger.

mardi 12 janvier 2016

Le Moringa, une plante miracle




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Le Moringa, un arbre à usages multiples


Moringa oleifera, souvent appelée simplement moringa, est une espèce de petit arbre pouvant mesurer jusqu'à 10 m de la famille des Moringaceae. Elle est originaire du nord de l'Inde et est maintenant acclimatée dans presque toutes les régions tropicales, elle résiste bien à la sécheresse et a une croissance rapide.


« Moringa » vient du malayalam muringa. La plupart des langues utilisent un dérivé phonétique de ce mot pour désigner la plante.


Ci-dessous, il est entendu que le mot Moringa se rapporte à l'espèce Moringa oleifera, sauf précision contraire.


La tradition indienne de l'ayurveda indiquait que les feuilles du Moringa guérissaient plus de 300 maladies.


En Inde, le Moringa est une plante vivrière cultivée pour ses fruits, qui sont mangés cuits et exportés frais ou en conserve. Les jeunes feuilles peuvent être utilisées dans la soupe de légumes[], mais aussi dans la très populaire soupe de légumes. Les fruits peuvent être ajoutés aux soupes acidulées. Au Sahel, les feuilles de Moringa oleifera sont consommées comme légumes et celles de Moringa stenopetala constituent le repas de base du peuple Konso en Éthiopie. Des analyses nutritionnelles ont montré que les feuilles de Moringa oleifera sont plus riches en vitamines (B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, A, C, E), minéraux (potassium, calcium, magnésium, fer, manganèse, sélénium) et protéines que la plupart des légumes. Elles contiennent des acides aminés dont les acides aminés essentiels (isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane, valine). Elles contiennent deux fois plus de protéines et de calcium que le lait, autant de potassium que la banane, autant de vitamine A que la carotte, autant de fer que la viande de bœuf ou les lentilles et deux fois plus de vitamine C qu'une orange. Beaucoup de programmes utilisent les feuilles de Moringa oleifera contre la malnutrition et ses maladies associées (cécité, etc.). En phytothérapie, la poudre de feuilles de Moringa est indiquée pour stimuler le système immunitaire, réduire la fatigue, abaisser la pression artérielle, améliorer la digestion et le transit, renforcer les capacités cognitives... Les formules des compléments alimentaires proposent soit de la poudre de feuilles de moringa seule, soit en association avec d'autres ingrédients. C'est le cas notamment des produits Moringa du laboratoire Natural Nutrition commercialisés en pharmacies ou des produits Moringa éthik planète de LT Labo, commercialisés en magasins de produits diététiques et biologiques. Les applications du Moringa sont nombreuses et variées.


Les graines de Moringa contiennent un polyélectrolyte cationique qui a montré son efficacité dans le traitement des eaux (élimination de la turbidité), en remplacement du sulfate d'alumine ou d'autres floculants. L'avantage de l'utilisation de ces graines est double :


  • la substitution de floculants importés par un produit local facilement accessible permet une économie importante de devises pour les pays du Sud,
  • ce floculant, contrairement au sulfate d'alumine, est totalement biodégradable.


On peut également extraire de ses graines une huile alimentaire intéressante, notamment en Afrique où beaucoup de pays manquent d'huiles alimentaires, et une matière première intéressante pour l'industrie cosmétique (savon, parfum). Une utilisation mixte du moringa, pour la production d'huile et d'agent floculant, est possible car le tourteau issu de l'extraction d'huile conserve ses capacités floculantes.
Ses racines servent à produire un condiment alimentaire.               


D'autres applications potentielles du moringa, comme son utilisation dans l'alimentation animale, comme hormone de croissance végétale, comme engrais vert, en phytopharmacie ou comme pâte à papier font l'objet de nombreuses recherches.

lundi 11 janvier 2016

Le chemin qui mène vers bassin bleu

Le bassin bleu
Dans les montagnes à environ une douzaine de kilomètres de Jacmel on peut accéder à une très belle cascade. Pour s'y rendre on doit d'abord traverser à gué la Grande Rivière de Jacmel, puis on suivra une piste qui grimpe assez abruptement dans les collines et qui offre de splendides vues de la baie de Jacmel. Caché dans les collines au-dessus de la pittoresque ville de Jacmel dans la région du Sud-Est d'Haïti, Bassin-Bleu est une expérience à faire absolument. Toutefois avant de pouvoir profiter de ses paysages à couper le souffle et de ses bassins exotiques, il faut parcourir un chemin parsemé d’aventures. Heureusement que les guides locaux sont là pour vous aider dans ce parcours.
Le voyage de la ville de Jacmel à Bassins Bleu est d'environ 7,5 miles. Une partie de la route seulement peut être effectué en véhicule tout terrain. Les chutes étant difficile à atteindre en voiture, le reste du parcours peut être est généralement terminé à cheval et une partie à pied.
Il y a deux routes pour y arriver: celle de Savanette et celle de la Petite Rivière. Les deux chemins exigent un certain effort physique. En effet, à certains moments du parcours, il faut se hisser sur les gros rochers ou se laisser glisser en s’aidant d’une corde. Cet effort, toutefois, est largement compensé par la majestuosité d’un paysage vierge agrémenté d’une flore et d’une faune impressionnante. D’ailleurs, le nombre de touristes autorisés à visiter par jour est limité afin de préserver la beauté de ce sanctuaire préservé. Un sentier permet d'atteindre facilement le premier bassin en 15 minutes de marche à peine. Bienvenue au Bassin Palmiste. Au milieu se dresse un énorme rocher ayant la forme d'une coupe, des interstices de laquelle se relèvent de jolis arbustes. Tout autour l'eau s'écoule comme d'une belle fontaine dessinée avec soin. Sur l’un des bords de ce bassin se trouve un gigantesque palmiste ce qui lui vaut son nom : Bassin-Palmiste.
En second lieu, on atteint le fameux Bassin Bleu. Devant soi s'étend alors une eau d’une couleur intensément bleue, un bleu cobalt. Le bassin a acquis cette couleur due à des minéraux dissous dans l'eau. De là vient le nom de Bassin-Bleu.
Mais le plus charmant c'est le dernier bassin, le Bassin Clair, dont l'accès est un peu plus difficile et requiert une grosse corde et un peu de gymnastique. Mais l'effort en vaut la peine: un magnifique plan d'eau dominé par une chute et où on pourra plonger avec délices dans une eau limpide et fraîche. Le cirque rocheux sculpté par la rivière est d'une grande beauté.
Dans ce bassin tombe une grande chute d'eau d'une hauteur de six pieds à peu près. Ce bassin bien que moins profond que les 2 premiers offre une particularité qui justifie sa notoriété : l'eau y est fraiche et si clair que l'on voit distinctement les poissons nager au fond. La baignade y est délicieuse, le site remarquable et le sentier pédestre pour y accéder, très agréable.
Alors que toutes les chutes d'eau du Bassin Bleu sont à couper le souffle, ce n’est pas là, le seul attrait que leur donne la population locale. En effet, selon les légendes locales, les grottes qui entourent les chutes sont la demeure des nymphes des eaux qui se prélasse à l’abri des regards. Aucune chance que vous puissiez les apercevoir par conte, puisqu’elles disparaissent au moindre bruit.

Outre son éventail impressionnant de cascades, le Bassins Bleu bénéficie d'une riche diversité de plantes luxuriantes et d’oiseaux exotiques. Ses raides, collines rocheuses offrent une vue magnifique sur la baie de Jacmel. Lors de votre séjour, profitez d’une baignade dans ces piscines naturelles. Et pourquoi ne pas savourez un pique-nique en vous installant dans une des grottes cachés par la végétation et les roches qui sera votre pour le temps de votre escapade.

Le tacco d'hispaniola

Description de cette image, également commentée ci-après


Le tacco d’Hispaniola
En Haïti il y a plusieurs espèces qui sont endémiques  c’est-à-dire des espèces qu’on ne trouve que sur l’ile. Il y en  a plusieurs comme on l’avait dit tantôt mais nous voulons vous parlez du Tacco d’Hispaniola.
Le Tacco Hispaniola (Coccyzus longirostris) est une espèce d'oiseaux de la famille des Cuculidae, endémique de l'île d'Hispaniola (Haïti et République dominicaine).

Jusqu'en 2006, il était classé dans le genre Saurothera qui a été supprimé par l'AOU et dont les 4 espèces ont été intégrées au genre Coccyzus.


Le Bassin ZIM

Le Bassin ZIM
     Parmi les richesses naturelles que renferme le département du Centre, une se distingue par sa beauté et l’attraction qu’il exerce sur les visiteurs : le Bassin Zim. Véritable joyau de la nature par ses cascades et ses grottes, ce site entouré de légendes constitue cependant une richesse inexploitée sur le plan touristique. Le Bassin Zim est situé à 8 km de la ville de Hinche, chef-lieu du département du Centre appelé aussi Plateau Central. Entre autres richesses, il renferme des grottes et de chutes d’eau. Sur place, on découvre le charme et la beauté de ce cadre enchanteur situé en plein cœur d’une terre sèche. Telle une oasis dans un désert, l’eau, dans un bleu éclatant, pétille dans les quatre bassins du Bassin Zim. En effet, les quatre réceptacles formant le Bassin Zim portent chacun un nom : Arc-en-ciel, Puits, Candélabre et le Bassin Zim, proprement dit. Ce dernier, le plus grand des quatre bassins, est alimenté par l’eau d’une cascade qui se déverse d’une hauteur de quelque 20 mètres. Le Bassin Zim est aussi constitué d’une série de grottes et de roches silicatées. L’intérieur des grottes est recouvert de pictogrammes qui remonteraient à la période des Indiens, les premiers habitants de l’île. Outre son cadre verdoyant et reposant, le Bassin Zim attire aussi les amateurs de légendes et d’ésotérisme. Ces derniers trouvent au site un côté mystique en raison notamment de certaines histoires et légendes qui l’entourent. Ainsi, le site offrirait des bienfaits aux âmes pures. Il regorgerait de trésors cachés par les Indiens. Les habitants de la région croient que la région est hautement mystique et que beaucoup de gens auraient trouvé fortune ou guérison après avoir été en contact avec les esprits du Bassin ».
Tous ces mythes nourrissent l’imaginaire et augmentent l’intérêt porté à Bassin Zim.
                                       


La foret des pins

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 LA FORÊT DES PINS, UN PATRIMOINE À SAUVEGARDER

De 32 000 hectares de pins au début du XXème siècle, il n’en reste pas plus de 6 000 aujourd’hui. Le déboisement massif de la Forêt des Pins, située à cheval entre Haïti et la République Dominicaine, cause chaque année inondations et glissements de terrain parfois meurtriers. Situé entre 850 mètres et 3000 mètres d'altitude, cet espace boisé couvrait à l'origine 15 % de l'Ile d'Hispaniola avec un ensemble forestier de pins d’Hispaniola ou – espèce endémique – situé sur des pentes avec des sols peu profonds de carbonate et de latérite. Les forêts de pins couvrent la Cordillère Centrale dont le Pic Duarte de la République Dominicaine ainsi que le massif du Pic la Selle et le massif de la Hotte. L’exploitation est excessive aujourd’hui surtout du côté haïtien qu’on voit  la déforestation est plus visible. « Jadis la Forêt des Pins couvrait 32.000 hectares de superficie, maintenant à peine s’il nous reste 6.000 hectares de forêt ». Selon le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la couverture forestière d’Haïti ne dépasse pas 3% du territoire, exposant le pays de la Caraïbe à l’érosion et aux catastrophes naturelles. Les paysans mettent le feu à la forêt pour abattre facilement les arbres et du même coup gagner du terrain pour cultiver carottes, laitues et pommes de terre. « Tout cet espace était jadis couvert de forêt », se souvient Polynice Joseph, un autre agent forestier montrant du doigt un vaste champ de maraîchers disposé en terrasse sur une colline dénudée. C’est dans les années trente que, sous l’impulsion des agriculteurs et des exploitants de bois, la coupe anarchique des arbres s’est accélérée. Trente ans plus tard, sous le gouvernement de François Duvalier, la lutte contre les « kamokens » (nom donné à ses opposants politiques) a fait de la coupe systématique des arbres un moyen de surveiller le territoire. Durant cette période, les pins étaient aussi exploités par des entreprises étrangères pour la fabrication d’une huile à base de résine destinée à l’industrie aéronautique. Pourtant, la loi du 24 Mai 1962 du Code Rural interdit de défricher ou déboiser les terrains inclinés. Et selon un arrêté datant de 1937, la zone est classée « zone spéciale », bénéficiant ainsi d’une certaine protection contre la coupe illégale du bois. Malgré cela, au départ de Jean-Claude Duvalier du pouvoir, en 1986, la dégradation continue des conditions de vie des paysans a eu pour corollaire l’intensification de la coupe des arbres, trafic obligé pour alimenter la capitale et d’autres régions du pays en bois et charbon de bois, principales sources d’énergie pour les ménages et les blanchisseries.
                    Aujourd’hui, la couverture végétale de la commune de Fonds-Verrettes présente un triple aspect : dans la partie nord, une zone extrêmement dégradée ; dans la zone de Terre-Froide à Yati, une zone peu dégradée et, dans la partie sud, une couverture végétale acceptable mais grandement menacée par les cultivateurs et les fabricants de charbon qui incendient régulièrement la Forêt des Pins.


                     

samedi 9 janvier 2016

Reflechissons


L’environnement se définit comme étant : « l'ensemble des éléments qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins », ou encore comme « l'ensemble des conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines ». Jadis, Haïti était considéré comme la perle des Antilles à cause de  son environnement à savoir sa faune et sa flore. On était capable de nourrir plus de six français à partir de nos ressources naturelles. On les attirait aussi grâce à notre diversité et notre couverture végétale, mais aujourd’hui elle ne l’est plus (la perle des Antilles), car  presque tout le monde ne lutte pas pour conserver le peu de cette richesse que ce pays nous offre encore. La grande question qu’on doit se poser est : Pourquoi ce désintéressement ? Est-ce parce qu’Aujourd’hui tout le monde ne voit que leur propre intérêt financier ? Je pense que bien qu’en défendant leurs intérêts financiers, ils devraient alors se soucier de leur santé, de ce qu’ils respirent. Aujourd’hui l’environnement dégradé qu’on a en Haïti n’est pas l’affaire d’un groupe mais le problème de tous, alors protégeons notre terre, notre Haïti car elle est la nôtre, une Héritage qu’on a intérêt a protégé de toute notre force.

jeudi 7 janvier 2016

Bienvenue

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Salut et Bienvenue mes  chers Visiteurs  sur le blog “HAITI VERTEMerci d’avoir pris le temps de nous visiter. C’est un blog à travers lequel vous serez en contact avec la nature et vous saurez  beaucoup plus sur les richesses naturelles d’Haïti à savoir nos plantes et nos animaux. Merci déjà de nous visiter chaque semaine car vous trouverez des informations qui vous serez très utiles. Invitez donc vos amis à visiter le blog afin de partager ces informations avec eux. Encore Merci pour votre temps et votre dévouement.